Avant l’ouverture officielle des travaux de la 3e Conference des Nations Unies sur l’Ocean, lundi, la journée a débuté par une cérémonie rituelle. L’activiste climatique polynésien Ludovic Burns Tuki a soufflé dans un pu, une conque marine traditionnellement utilisée dans la navigation océanienne. 

« C’est une façon d’appeler chacun à se rassembler », a-t-il expliqué. « Je souffle avec le soutien de nos ancêtres ».

Né à Tahiti de parents originaires des Tuamotu et de l’île de Pâques, M. Tuki voit dans l’océan à la fois une frontière et un lien. « Nous ne sommes pas que des États. Nous devons penser comme un système collectif. Il n’y a qu’un seul océan, un seul peuple, un avenir commun ».

La cérémonie a également donné lieu à une bénédiction de l’historienne tahitienne Hinano Murphy, à une performance d’arts martiaux par le maître français de taekwondo Olivier Sicard, à une intervention de la biologiste marine Antje Boetius, et à un témoignage poétique du cinéaste mauritanien Abderrahmane Sissako, accompagné de la musicienne Wassa Kouyaté à la kora.

(Interview : Ludovic Burns Tuki , activiste climatique polynésien; propos recueillispar Fabrice Robinet)

Source of original article: United Nations (news.un.org). Photo credit: UN. The content of this article does not necessarily reflect the views or opinion of Global Diaspora News (www.globaldiasporanews.com).

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