De nouvelles données publiées mardi par l’Office des Nations Unies contre la drogue et le crime (ONUDC) montrent que la pandémie de COVID-19 est responsable d’une baisse de 11% du nombre de victimes de la traite des êtres humains.
Trois raisons principales à cette baisse : une capacité réduite de la part des autorités compétentes à mener une action d’identification des victimes ; une capacité réduite des auteurs de ces crimes d’agir en raison de la fermeture des frontières mais aussi un changement de la modalité de l’exploitation des victimes à fin d’exploitation sexuelle. A cause de la pandémie cette exploitation sexuelle a bougé dans des endroits privés comme des appartements des trafiquants ou des clients.
Pour Giulia Serio, Experte associée en recherche et analyse sur la traite des personnes et le trafic de migrants à l’ONUDC, il faut redoubler d’efforts pour rassembler les communautés concernées, les gouvernements, la société civile, les Nations Unies et tous les partenaires pour renforcer la résistance à l’exploitation et mettre fin à la traite des personnes une fois pour toutes.
Source of original article: United Nations (news.un.org). Photo credit: UN. The content of this article does not necessarily reflect the views or opinion of Global Diaspora News (www.globaldiasporanews.com).
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